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Suite à des semaines de grèves, en plein coeur de l'hiver, la déprime du "Blue Monday" prévue le 20 janvier pourrait devenir une prophéthie autoréalisatrice ! Dans tous les cas, les plus sensibles n'échapperont pas tôt ou tard à la déprime hivernale.

En entreprises, pour que les affaires restent au beau fixe, DRH et « happiness managers » se mobilisent. Après l'essor de la luminothérapie, une nouvelle tendance fait de plus en plus d'adeptes : la biophilie.

Et si le manque de luminosité n'était pas la véritable cause ?

Le manque de luminosité est souvent cité comme le grand coupable de ce blues hivernal. Mais est-ce la véritable cause ou une simple corrélation ? Les avis divergent sur la question entre les promoteurs de la luminothérapie et les « luminosceptiques ».
 

« Je suis convaincu que la baisse de luminosité n'a qu'un effet indirect sur la déprime hivernale. La cause profonde, c'est la déconnexion totale avec la nature. Si vous pensez qu'on déprime dans l'obscurité, je vous invite à aller admirer un magnifique ciel étoilé ! D'ailleurs c'était quand la dernière fois pour vous ? » interpelle Cyrille Schwartz, un des fervents défenseurs de la biophilie en France.
 

Prêcher la parole biophilique en entreprise

Epicurien et amoureux de la terre, cet ancien président de la Semaine du Goût® prêche la parole biophilique au sein des entreprises. Son crédo auprès des DRH : des salariés plus connectés à la nature, ce sont des salariés moins déprimés et plus motivés. Un discours qui a su convertir des grandes entreprises comme LVMH, l'Oréal, Nuxe, Aéroport de Paris, Novotel...

Nul doute que les nombreuses études, chiffres à l'appui, démontrant l'impact positif de la biophilie sur le bonheur et la productivité des salariés l'ont aidé dans sa croisade. Aquaponie, corporate garden, potager,... ce que on appelle désormais le « design biophilique » ne cesse de se developper.
 

Pour conjurer leur blues hivernal, ils se roulent dans l'herbe sur la toiture végétalisée, parlent aux poissons rouges dans l'aquarium, cultivent un mini potager devant leur fenêtre, méditent devant leurs orchidées,... attention, les salariés biophiliques risquent de fleurir dans nos open-spaces. Un brin déprimant, non ?

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