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Selon une enquête Parella-Esquisse, 27 % des entreprises franciliennes du tertiaire auraient franchi le cap du flex office. Avec le confinement lié au coronavirus, le télétravail s'est démocratisé et le flex office revient sur le devant de la scène.

Permettant d'avoir un taux d'occupation situé entre 76 et 80%, le flex office pourrait connaitre une accélération, dans un contexte économique tendu. D'ailleurs, en cette rentrée 2020, des accords de branches sont négociés et visent à réduire le taux d'occupation.

Poussé par les entreprises afin de louer des espaces plus restreints et à l'ère des tiers lieux et espaces de coworking, le flex office n'est pas sans conséquence pour les salariés, obligés à revoir leur mode d'organisation et d'interaction avec les autres. Cet environnement de travail nomade peut augmenter le mal être en entreprise et augmenter le niveau de stress.

Thierry della Rovere, fondateur de StopMarcel, 1er site de prévention contre les risques psycho sociaux et le harcèlement au travail, met en garde sur ces modèles :

« l'évolution vers cette organisation de travail va dans le mauvais sens et peut engendrer des risques psycho sociaux. Les plus sensibles sont les salariés dont le métier exige des interactions sociales ou selon le profil de chacun. Certaines personnes ressentent un vrai besoin d'échange dans leur travail. A certaines périodes de vie, un salarié peut mal vivre le télétravail qui va amplifier son sentiment de solitude. Le flex office, quant à lui, contribue à gommer les repères qu'il peut avoir dans l'entreprise et impacter l'équilibre du salarié ».

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