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ServiceNow dévoile « The Work Survey », une analyse de l’impact de la COVID-19 sur le monde du travail

« The Work Survey » recueille les avis de cadres et collaborateurs de différents secteurs d’activité dans 11 pays, dont cinq grandes régions géographiques européennes*.

Les cadres comme les collaborateurs se rejoignent pour dire que la technologie a permis à leurs entreprises de changer les méthodes de travail plus rapidement que ce qu’ils pensaient possible, accélérant ainsi la transformation numérique.

Les cadres et les collaborateurs expriment des opinions différentes sur la meilleure voie à suivre, mais s’accordent sur l’opportunité de repenser les méthodes de travail.

ServiceNow  leader de la digitalisation des workflows, dévoile aujourd’hui les résultats de The Work Survey, l’une des enquêtes les plus complètes à l’échelle mondiale sur l’impact de la COVID-19 sur le travail et les opportunités d’innovation numérique qui y sont liées.
Les cadres et les collaborateurs de toute l’Europe s’accordent à dire que la technologie leur a permis de passer à de nouvelles méthodes de travail plus rapidement que prévu et que la transformation numérique va accélérer l’innovation.

« L’évolution spectaculaire du monde vers le digital montre à quoi va ressembler l’avenir du travail. Les workflows numériques vont permettre de redéfinir les méthodes de travail du XXIe siècle. Il n’y a pas de retour en arrière possible. La transformation numérique va s’accélérer. De nouvelles méthodes de travail deviendront la norme. Nous sommes à l’aube d’une vague d’innovations sans précédent en matière de flux de travail et sur nos lieux de travail. »
-
Bill McDermott, CEO de ServiceNow

Réalisée en septembre par Wakefield Research pour ServiceNow, « The Work Survey » a été menée auprès de 9 000 cadres et collaborateurs dans des secteurs tels que les services financiers, la santé, les télécommunications, l’industrie manufacturière et le secteur public.
Voici les principaux enseignements pour la France :

  • 87 % des cadres français déclarent que la pandémie a amené leur entreprise à repenser la façon de travailler.
  • 76 % des salariés français (contre 87 % au niveau mondial) affirment que leur entreprise a créé de meilleures méthodes de travail depuis le début de la crise.
  • 89 % des cadres et 83 % des salariés français affirment que leur entreprise a fait la transition vers de nouvelles méthodes de travail plus rapidement qu’ils ne le pensaient possible.

La COVID-19 a permis de réduire les dépenses de fonctionnement de 85 % des entreprises françaises interrogées (88
% au niveau mondial), créant ainsi des opportunités d’investissement dans la transformation numérique, la recherche et le développement, le marketing et la croissance.

Les entreprises ont innové rapidement mais devront accélérer le rythme pour émerger

Près de la moitié des cadres (47 %) et plus de la moitié des collaborateurs (61 %) en France pensent que la transition vers une nouvelle norme sera plus difficile que le choc initial de la COVID-19. Ce défi est exacerbé par le fait que la plupart des entreprises sont désavantagées sur le plan numérique. 96 % des cadres français admettant qu’ils ont encore des flux de travail hors ligne, notamment pour la validation de documents, les rapports d’incidents de sécurité et les demandes d’assistance technologique. Des progrès ont été réalisés, mais après plusieurs mois de travail à distance, 60 % des cadres et 62 % des collaborateurs en France déclarent que leur entreprise ne dispose toujours pas d’un système totalement intégré pour gérer les flux de travail digitaux.

La confiance est mitigée quant à la possibilité pour les entreprises de se transformer rapidement à nouveau

Les nouveaux systèmes développés et mis en place dans l’urgence de la COVID-19, ont été considérés comme ayant créé de nouvelles méthodes de travail plus efficaces par 76 % des collaborateurs français. Cependant, ces systèmes sont encore considérés comme vulnérables à la prochaine perturbation majeure, la plupart des cadres et des collaborateurs déclarant que les fonctions clés de l’entreprise (telles que le service client, les RH et les finances) ne seraient pas capables de s’adapter dans les 30 jours. Cela montre la nécessité et les opportunités d’une transformation numérique solide dans toute l’entreprise.

Réussir implique de développer une organisation du travail plus efficace et plus rapidement que la concurrence

Alors que 99 % des dirigeants et collaborateurs français vantent les avantages du télétravail, les défis deviennent plus évidents. Tant les cadres (89 %) que les collaborateurs (78 %) expriment de réelles inquiétudes quant à son impact sur l’évolution de l’entreprise. Les principales préoccupations et les principaux avantages dépendent de l’endroit où l’on se trouve.

Les cadres sont les plus préoccupés par les résultats - retards dans la fourniture de produits ou de services (56 %), tandis que leurs collaborateurs sont plus préoccupés par les intrants - réduction de la collaboration entre les unités commerciales (47 %).
Les salariés français déclarent que le temps gagné en évitant les déplacements domicile-travail ou les déplacements professionnels (63 %) est celui qui leur a été le plus profitable, tandis que les cadres estiment qu’une meilleure utilisation de la technologie pour améliorer l’efficacité (59 %) est le plus grand avantage pour leurs équipes.

La reprise du travail présentiel dépend du sentiment de sécurité des employés

La moitié des collaborateurs (50 %) français pensent que leur entreprise donnera la priorité à la continuité des activités plutôt qu’à la sécurité sur le lieu de travail. Plus surprenant encore, 31 % des cadres le pensent aussi. Même si une entreprise fait un effort pour donner la priorité à la sécurité, de nombreux salariés ne pensent pas pouvoir y parvenir, 38 % des ces derniers déclarant qu’ils ne croient pas que leur entreprise prendra les mesures nécessaires pour assurer leur sécurité. Étonnamment, les cadres sont d’accord. Près d’un tiers des cadres français (30 %) admettent qu’ils ne pensent pas que leur entreprise prendra les mesures nécessaires pour assurer leur sécurité.

« La COVID-19 a fait évoluer les entreprises à un rythme inédit et, pour être honnête, beaucoup ne pensaient même pas que c’était possible. On parle beaucoup d’adaptation à une nouvelle norme, mais la réalité pour la plupart des entreprises est qu’il n’y a que le présent, et le changement constant qui l’accompagne. Le défi majeur pour les organisations européennes consiste à trouver un équilibre entre le besoin immédiat de continuité des activités et les besoins personnels de leurs employés, et à s’assurer qu’ils sont prêts, du point de vue numérique, à la vague de changements à venir. La clé de cet équilibre sera de se concentrer sur la digitalisation du travail à accomplir, où qu’il se produise. »
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Chris Pope, VP Innovation de ServiceNow


« Cette étude démontre d’une part les préoccupations et les attentes des collaborateurs français, et à travers le monde, pour faire face au nouveau monde du travail et d’autre part le besoin fondamental pour les entreprises de faire preuve d’agilité face aux situations environnantes. Chez ServiceNow nous avons pour ambition d’accompagner les entreprises de tous les secteurs à accélérer leur transformation digitale et permettre à leurs collaborateurs de se doter des meilleurs outils pour gagner en efficacité et ainsi répondre à leurs besoins. »
-
Bruno Buffenoir, Directeur Général de ServiceNow en France

Pour plus d’informations sur « The Work Survey » cliquez ici

Méthodologie : Wakefield Research a mené une enquête quantitative en ligne entre le 1er et le 10 septembre 2020 auprès de 900 cadres C-level et de 8 100 collaborateurs d’entreprises de 500 employés ou plus dans les pays suivants : États-Unis, Royaume-Uni, France, Allemagne, Irlande, Pays-Bas, Inde, Japon, Singapour, Australie et Nouvelle-Zélande. Bien que l’enquête de Wakefield ait porté sur plusieurs secteurs, les résultats mettent en évidence des différences significatives entre les employés des cinq secteurs clés suivants :
services financiers, soins de santé, industrie manufacturière, télécommunications et secteur public.

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