Dans le cadre de la mise à jour de son « Productivity tracker », mis en place l’année dernière, Sage a identifié 8 catégories de tâches administratives chronophages incluant, en France, les problématiques de recrutement (10,7 %), paie (12,1 %) et de gestion des ressources humaines (coût le plus élevé avec 16 %). À l’échelle mondiale les résultats sont mieux équilibrés sur ces mêmes critères : 12,2 % pour le recrutement, 12,2 % pour la paie et 12,4 % pour la gestion des ressources humaines des coûts administratifs.
Ci-dessous deux graphiques révélant les proportions de dépenses observées à l’échelle mondiale et à l’échelle française.
Dans le monde
En France
« Le métier des ressources humaines aide au bon fonctionnement d’une entreprise d’un point de vue finances, production, commerce et ressources humaines mais représente forcément un coût », explique Laura Chikli, chef de marché Paie chez Sage. « Ce qu’il faut c’est surtout mettre à disposition de ces fonctions supports des technologies concrètes et innovantes afin de leur permettre de se concentrer sur des tâches à fortes valeurs ajoutée. Dans le métier des ressources humaines, il est important de faire en sorte d’apporter formation et bien-être aux collaborateurs, ce qui leur permettra d’être plus productifs . »
Méthodologie : Cette enquête a été réalisée par YouGov pour le compte de SAGE.
Méthodologie : sondage sur un échantillon de 1 466 décideurs de petites et moyennes entreprises, garantissant une taille minimale de 100 personnes dans chacun des 12 pays analysés. Les travaux sur le terrain ont été entrepris du 19 mars au 5 avril 2019 et ont été effectués en ligne. Les résultats ont été synthétisés sous forme de statistiques uniques traitant de la productivité des PME, basées sur le temps moyen consacré par entreprise à des tâches administratives.
Pour suivre le coût de la perte de productivité en 2018, la valeur implicite a été calculée sur la base des données du FMI pour 2019, avec des variations comparées aux variations de 2018 et des variations sur 12 mois, par rapport aux évaluations de 2018 «Sweating the Small Stuff». La recherche a supposé un impact linéaire limité dans le temps en utilisant les chiffres de croissance du PIB extraits des Perspectives de l'économie mondiale du FMI (avril 2019).