Suite à l’arrêt rendu par la Cour de Justice de l’Union européenne le 14 mai 2019, les États membres vont imposer aux employeurs la mise en place d’un système pour mesurer la durée du temps de travail journalier des employés.* Pour les patrons de TPE et PME qui n’ont pas encore de processus en place, cette obligation va représenter une charge administrative supplémentaire. Anticiper cette mesure leur permettra d’aborder la loi sur le suivi du temps travail en toute sérénité.
Comment les PME vont mettre en place cette nouvelle mesure ?
Si pour se mettre en conformité avec la loi à venir, le premier réflexe des PME sera sans doute de suivre manuellement la durée du temps de travail (tableau excel…), cette option n’est certainement pas la plus fiable à long terme. En effet, selon une étude, 88% des feuilles de calcul contiennent des erreurs**. De quoi attiser les contentieux employeurs-employés concernant les heures supplémentaires, elles-mêmes à l'origine de cette nouvelle réglementation européenne.
Automatiser le décompte des temps de travail avec un logiciel RH simple et accessible
Pour éviter de mettre en place des procédures compliquées et chronophages, les petites entreprises ont tout à gagner à utiliser un outil dédié au suivi des temps de travail. Simple et accessible, kiwiHR assure un relevé précis des heures journalières, hebdomadaires et mensuelles. Sorte de “pointeuse digitale”, l’outil automatise les calculs des temps de travail et des heures supplémentaires sans erreur. La transparence entre employeurs et salariés est ainsi assurée.
*Arrêt dans l'affaire C-55/18 Federación de Servicios de Comisiones Obreras (CCOO)/Deutsche Bank SAE 14 mai 2019.
**Selon une étude menée en 2016 par DafMag, 88% des feuilles de calculs utilisées en interne contiennent des erreurs.