Présent dans toute la France avec 1 500 restaurants, et regroupant plus de 75 000 salariés sous enseigne, l’égalité femmes-hommes est une priorité pour McDonald’s France. Après plusieurs mois de travail pendant lesquels l’enseigne a consulté de nombreux experts, des associations de référence, des cabinets spécialisés ou encore d’autres entreprises, McDonald’s France renforce encore ses dispositifs de lutte contre toute forme de sexisme, et s’engage aux côtés de #StOpE pour contribuer à faire avancer les comportements.
« Dans nos restaurants, la méritocratie, l’égalité des chances, le respect de chacun sont les clefs de voûte des valeurs de McDonald’s France. Notre détermination est totale pour lutter contre toute manifestation de comportements inappropriés et inadmissibles, contre toutes discriminations sexuelles, de genre et d’origine. Nous y travaillons chaque jour et nous consultons, en permanence, des experts, des associations et des salariés de l’enseigne pour identifier les mesures afin de consolider et de renforcer continuellement nos plans d’action. » précise Delphine Smagghe
Former et sensibiliser tous les salariés de l’enseigne aux enjeux de l’égalité femmes-hommes
Depuis plus de 5 ans, tous les managers de l’enseigne sont sensibilisés aux enjeux de la sécurité et santé au travail via un programme de formation incluant des modules relatifs à l’égalité femmes-hommes et la lutte contre le sexisme. Cette année encore le programme académique a été renforcé. Tous les encadrants de l’enseigne sont désormais formés spécifiquement à ces enjeux via une formation dédiée, par un cabinet reconnu par l’État, et certifiée par une évaluation précise. Dans les tous prochains jours, l’ensemble des équipiers de l’enseigne seront également sensibilisés avec un module de formation dédiée et adaptée, validée par un test et renouvelé tous les 6 mois. Cette stratégie de sensibilisation a pour objectif de renforcer encore la prévention de tout comportement inapproprié, faciliter leur détection et permettre à chacun d’adopter les bons réflexes. Enfin, l’ensemble des nouveaux salariés rejoignant les effectifs des restaurants qui les emploient, devront eux aussi approuver une charte dédiée au moment de la signature de leur contrat de travail, rappelant les principes de non-discrimination et de respect de chacun attendus au sein des restaurants de l’enseigne.
« Depuis plusieurs mois, nous travaillons avec McDonald’s pour développer un programme de formation renforcé qui vise à engager encore plus l’ensemble des encadrants dans une démarche de prévention efficace des comportements sexistes et discriminants. La formation que nous avons développée avec McDonald’s a été reconnue par l’État et fait l’objet d’un examen pour chaque encadrant. Ce travail de sensibilisation et de formation est, dans une entreprise, la clé de voute de la qualité de vie au travail et chez McDonald’s France qui figure parmi les enseignes les plus ambitieuses sur ce volet » ajoute Vincent Baud fondateur du cabinet Master, spécialisé dans le conseil aux entreprises dans le management de la santé et de la qualité de vie au travail des salariés.
Alerter et agir efficacement dès lors qu’un comportant inapproprié survient
Les restaurants McDonald’s détenus en propre ou opérés par les franchisés emploient plus de 75 000 salariés. À cette échelle, des cas isolés, parfois à l’extérieur des restaurants, peuvent survenir malgré l’intense programme de formation et de sensibilisation mis en place. Dès lors qu’un comportement inapproprié est avéré, il fait l’objet d’une sanction disciplinaire conformément à l’approche « tolérance zéro ».
Dans l’ensemble des restaurants McDonald’s détenus en propre ou opérés par les franchisés, des protocoles d’alerte et de prise en charge sont en place avec trois principes devant être mis en œuvre par les restaurants en cas de signalement :
- Protéger le ou la victime présumé(e) en séparant les salariés parties-prenantes et avec la mise en place d’un accompagnement psychologique si la personne le souhaite
- Initier une enquête avec le recueil le plus large possible de témoignages, dans le respect du contradictoire, des droits de chacun, pour faire la lumière sur les faits.
- Prendre les mesures disciplinaires qui s’imposent lorsque les faits sont avérés.
Depuis 2019, 32 mesures disciplinaires ont été prises après une enquête minutieuse, réalisée conformément aux dispositions légales. La volonté d’agir justement est au cœur des protocoles en place dans tous les restaurants en lien avec les représentants du personnel des restaurants et la médecine du travail.
Pour aller encore plus loin dans les prochaines semaines, un référent harcèlement, spécialement formé, sera proposé pour intervenir auprès des Comités Sociaux & Économiques (CSE) des restaurants. Il aura, entre autres, la charge de la conduite des enquêtes internes visant à établir les faits conjointement avec le référent harcèlement de l’entreprise. La médecine du travail pourra d’ailleurs être associée.
Enfin, les salariés de l’enseigne auront désormais l’opportunité d’alerter via une ligne dédiée gérée par des experts spécialisés dans l’accompagnement des victimes de comportements sexistes ou discriminants.
McDonald’s France rejoint l’initiative de référence sur l’égalité « femmes – hommes » #StOpe
Dans le cadre de la stratégie de l’enseigne, McDonald’s France s’est engagée, le 8 décembre, à rejoindre l’initiative #StOpE qui a pour objectif de partager et de promouvoir les bonnes pratiques de lutte contre le sexisme dit « ordinaire au travail ». Cette initiative, soutenue par Elizabeth Moreno, Ministre déléguée auprès du Premier Ministre, chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l’égalité des chances, s’articule autour d’engagements majeurs et a déjà permis de partager plus de 200 bonnes pratiques.
L’enseigne s’engage donc à déployer huit actions prioritaires pour faire reculer durablement le sexisme « ordinaire » :
- Afficher et appliquer le principe de tolérance zéro ;
- Informer pour faire prendre conscience des comportements sexistes (actes, propos, attitudes) et de leurs impacts ;
- Former de façon ciblée sur les obligations et les bonnes pratiques de lutte contre le sexisme dit « ordinaire » ;
- Diffuser des outils pédagogiques aux salariés de l’enseigne pour faire face aux agissements sexistes en entreprise ;
- Inciter l’ensemble des salariés de l’enseigne à contribuer à prévenir, à identifier les comportements sexistes et à réagir face au sexisme ordinaire ;
- Prévenir les situations de sexisme et accompagner de manière personnalisée les victimes, témoins et décideurs dans la remontée et la prise en charge des agissements sexistes ;
- Sanctionner les comportements répréhensibles et communiquer sur les sanctions associées ;
- Mesurer et mettre en place des indicateurs de suivi pour adapter la politique de lutte contre le sexisme dit « ordinaire ».
Ce soutien répond à l’engagement continu de McDonald’s France de faire reculer le sexisme en continuant à déployer, à un rythme accéléré, les mesures prioritaires telles que : l’application du principe de tolérance zéro, la sensibilisation des équipes, la formation spécifique des encadrants ou, encore, veiller à l’application de sanction systématique des comportements répréhensibles avérés.
« Nous sommes heureux d’accueillir une entreprise qui partage nos valeurs et s’engage à lutter contre toute forme de discrimination, dont le sexisme. Nous avons hâte de mettre en commun nos bonnes pratiques afin de contribuer avec l’ensemble des entreprises et organisations à mieux lutter contre le sexisme ordinaire dans le monde du travail » précise Anne-Laure Thomas Briand, co-fondatrice de l’initiative #StOpE
Pour valider la pertinence de nos dispositifs en restaurant, nous suivons chaque année des indicateurs précis pour mesurer les progrès et interrogeons les salariés de l’enseigne en permanence pour mesurer la qualité de vie des salariés en restaurant. Dans la dernière étude que nous venons de réaliser en septembre 2020, il apparait que :
- 2300 encadrants ont été formés depuis mars 2020 ;
- Dès 2021, ce seront 3000 encadrants qui seront formés chaque année ;
- 52% du personnel d’encadrement dans les restaurants sont des femmes ;
- Plus de 80% des directeurs et des directeurs adjoints sont issus de la promotion interne et ont commencé comme équipiers.
- 78% des salariés recommanderaient à un ami de venir travailler dans leur restaurant McDonald’s.
- 82% des équipières déclarent que les managers de leur restaurant agissent correctement à leur égard (soit près de 20 points de plus que les salariées travaillant dans des entreprises de plus de 100 personnes selon l’étude Red France d’Ipsos)
- 89% d’entre elles estiment que l’entreprise valorise la diversité de ses employés (contre 73% des salariées travaillant dans des entreprises de plus de 100 personnes selon l’étude Red France d’Ipsos)